Il porte au quotidien des modèles Himalaya, ou une Nautic Ski, qui comme lui est née à Grenoble, à l’époque pour les Jeux Olympiques de 1968 et ne manque pas de la fixer à son poignet pour une descente folle à skis du Mont Aiguille ou pour un bivouac en parois rocheuses. Robin décide donc de partir en mission avec LIP, une belle équipe constituée, un qui immortalise le temps et l’autre qui le dessine.
Nous lui souhaitons bonne chance dans la poursuite de ses projets, et que ce soit avec la Nautic Ski, la Nautic Fantôme, La grande Nautic, l’Himalaya, il vous dira « qu’au-delà de l’heure, l’important dans la vie est d’avoir le temps ».